Pour la première fois tous les Experts-comptables vont voter pour le Conseil supérieur.Ce vote peut être différent du vote régional.
Il doit l’être ! Voici pourquoi.
En ayant instauré le scrutin universel direct pour le Conseil supérieur, le législateur a mis fin au mode antérieur qui réservait le vote aux seuls élus régionaux, tous issus des listes des syndicats, et donnait obligatoirement une majorité à l’un ou l’autre. Ce changement est fondamental car il permet dorénavant de faire entrer des consœurs et confrères qui ne soient pas syndiqués au sein de l’instance nationale, qui est l’organe politique majeur. La profession doit se montrer digne de ce rendez-vous qui nous est donné par le législateur pour montrer sa capacité à se moderniser et aller de l’avant. Ce n’est rien de moins qu’une véritable démocratie qui nous est proposée pour effacer le modèle antérieur qui date du siècle dernier. Il est donc opportun d’élire le plus grand nombre d’élus non syndiqués qui auront la charge de porter la voix des trois-quarts de la profession non syndiqués. L’Ordre doit être le lieu de rassemblement de tous, et ne plus être dans les seules mains de l’un ou l’autre des syndicats. C’est un modèle nouveau qui reste à inventer, où le dialogue prévaudra et la recherche de consensus sera le mode opératoire. Le Conseil supérieur doit cesser d’être le champ de ruines des luttes syndicales et devenir le temple de la confraternité, la référence pour toute la profession.
Au moment de choisir les élus, il faut avoir présent à l’esprit que les fonctions nationales sont bien différentes des fonctions régionales. C’est le Conseil supérieur qui entretient le lien avec la tutelle au niveau du Ministère, autrement dit qui traite de tous les sujets qui touchent à la réglementation, à l’actualité et à la politique. C’est pourquoi les expériences régionales ne sont pas forcément adaptées à des fonctions nationales. Il est certes important d’inclure la sensibilité des régions dans ces décisions politiques : cela se fait par la voix de leurs présidents, au nombre de 16 sur les 56 sièges du CSO. La profession doit se doter de leaders nationaux capables de tenir tête au pouvoirs publics, et de porter des projets de grande envergure : c’est le sens à donner au choix de la liste pour le Conseil supérieur, avec des élus totalement indépendants. La prochaine mandature sera politique et technologique : elle engagera la profession pour de nombreuses années et nous ne pouvons pas prendre le risque de ne pas en faire un succès !
Ne pas confondre le vote régional et le vote national !
Pour la première fois tous les Experts-comptables vont voter pour le Conseil supérieur.Ce vote peut être différent du vote régional.
Il doit l’être ! Voici pourquoi.
En ayant instauré le scrutin universel direct pour le Conseil supérieur, le législateur a mis fin au mode antérieur qui réservait le vote aux seuls élus régionaux, tous issus des listes des syndicats, et donnait obligatoirement une majorité à l’un ou l’autre. Ce changement est fondamental car il permet dorénavant de faire entrer des consœurs et confrères qui ne soient pas syndiqués au sein de l’instance nationale, qui est l’organe politique majeur. La profession doit se montrer digne de ce rendez-vous qui nous est donné par le législateur pour montrer sa capacité à se moderniser et aller de l’avant. Ce n’est rien de moins qu’une véritable démocratie qui nous est proposée pour effacer le modèle antérieur qui date du siècle dernier. Il est donc opportun d’élire le plus grand nombre d’élus non syndiqués qui auront la charge de porter la voix des trois-quarts de la profession non syndiqués. L’Ordre doit être le lieu de rassemblement de tous, et ne plus être dans les seules mains de l’un ou l’autre des syndicats. C’est un modèle nouveau qui reste à inventer, où le dialogue prévaudra et la recherche de consensus sera le mode opératoire. Le Conseil supérieur doit cesser d’être le champ de ruines des luttes syndicales et devenir le temple de la confraternité, la référence pour toute la profession.
Au moment de choisir les élus, il faut avoir présent à l’esprit que les fonctions nationales sont bien différentes des fonctions régionales. C’est le Conseil supérieur qui entretient le lien avec la tutelle au niveau du Ministère, autrement dit qui traite de tous les sujets qui touchent à la réglementation, à l’actualité et à la politique. C’est pourquoi les expériences régionales ne sont pas forcément adaptées à des fonctions nationales. Il est certes important d’inclure la sensibilité des régions dans ces décisions politiques : cela se fait par la voix de leurs présidents, au nombre de 16 sur les 56 sièges du CSO. La profession doit se doter de leaders nationaux capables de tenir tête au pouvoirs publics, et de porter des projets de grande envergure : c’est le sens à donner au choix de la liste pour le Conseil supérieur, avec des élus totalement indépendants. La prochaine mandature sera politique et technologique : elle engagera la profession pour de nombreuses années et nous ne pouvons pas prendre le risque de ne pas en faire un succès !